+30 2310 250060
·
[email protected]
·
LUNDI - VENDREDI 09h00-21h00
PLANIFIER UN RENDEZ-VOUS

Clauses abusives dans un contrat de travail – Non. 630/21 Décision du Tribunal de Première Instance d'Athènes

Le non. 630/21 Décision du Tribunal Unique de Première Instance d'Athènes, sur une affaire traitée avec succès par notre bureau, a rejeté une action intentée par une ancienne entreprise employeur contre un salarié sollicitant des dommages et intérêts pour violation d'une clause postcontractuelle de non-concurrence et de confidentialité et a alloué les dépens à ce dernier 2 000,00 euros. L'employeur avait droit à un montant supérieur à 80 000,00 euros ainsi que la déchéance des clauses pénales du contrat de travail, ainsi que les indemnités et préjudice moral. 

En particulier, il a été jugé que «un accord par lequel le plus faible des parties contractantes est exploité en raison de son besoin ou de son inexpérience et est obligé d'exercer les droits découlant du contrat, de se livrer à des batailles juridiques dans des conditions particulièrement défavorables, peut donc être considéré comme contraire aux bonnes mœurs, soit par ignorance de la langue d'un pays étranger, ou en raison de la difficulté de rester dans un pays étranger sans travail, ou en raison de l'incapacité de confier la défense de sa cause à un représentant légal approprié ou en raison d'obstacles ou d'inconvénients procéduraux ou autres en tant que résultat de laquelle il n'entreprend aucune action le privant ainsi de ses droits légaux“.

Le choix de l'employeur d'utiliser la clause abusive d'extension de juridiction et de poursuivre le salarié à Athènes, au lieu de Thessalonique, qui est le lieu de travail et de résidence de ce dernier, a été critiqué par la Cour, qui a jugé que : 

Dans ce cas, il est clair que la conclusion de la prolongation est le produit de l'exploitation des besoins du demandeur, qui était dans une position plus faible lors de la recherche d'un emploi et n'a pas pu négocier le contenu du contrat proposé par le demandeur.“.

Par la suite, la Cour a statué qu'il ne suffit pas de signaler que le salarié a manqué à ses obligations, mais qu'il faut «être suffisamment déterminé et de quelle manière exacte le demandeur a manqué à ses obligations, puisque les secrets dont il n'a pas gardé la confidentialité ne sont pas clairement indiqués, et quelles informations confidentielles ont été fournies à son concurrent par son nouvel employeur", rejetant l'Enseignement dans son ensemble comme étant vague. 

Vient ensuite le non. 630/21 Décision du Tribunal Unique de Première Instance d'Athènes


TRIBUNAL DE PREMIÈRE INSTANCE D'ATHÈNES

PROCÉDURE DES LITIGES IMMOBILIERS

DÉPARTEMENT DES LITIGES DU TRAVAIL

630/2021

LE TRIBUNAL UNIQUE DE PREMIÈRE INSTANCE D'ATHÈNES

CONSOLIDÉ par le juge Michael Philippa, du tribunal de première instance, nommé par le président du conseil administratif composé de trois membres du tribunal de première instance d'Athènes, et par la secrétaire Georgia Karatsalo.

RENCONTRÉ publiquement en son audience le 29le Septembre 2021, pour juger le cas entre :

DU DEMANDEUR : Une société nommée ...., qui était représentée par l'avocat de ... du Barreau d'Athènes.

DU DÉFENDEUR : ….., qui a comparu après son avocat Thomas Kalokiris avec H. 11982 du Barreau de Thessalonique.

[…] Au cours de la discussion de l'affaire et de sa présentation par la chambre compétente, les avocats des parties ont développé leurs prétentions et ont demandé que soient acceptés ce qui est mentionné dans le procès-verbal de la réunion publique du Tribunal et les propositions écrites qu'ils ont soumises.

APRÈS ÉTUDE DU LITIGE
PENSÉE SELON LA LOI

[….]De la disposition de l'article 42§1 sec. 1 du Code civil, il s'ensuit qu'un tribunal ordinaire de première instance, non territorialement compétent, peut, par accord exprès ou implicite des parties, devenir compétent, sauf s'il s'agit de litiges qui n'ont pas d'objet patrimonial, alors que de la disposition de l'article 43 du même Code, il résulte que l'accord des parties par lequel un tribunal ordinaire devient compétent pour les litiges futurs n'est valable que s'il est écrit et se réfère à une certaine relation juridique, à partir de laquelle les litiges seront surgir. En outre, de la disposition de l'article 44 du Code civil, il résulte que les accords selon les articles 42 et 43 du Code civil créent une compétence exclusive, à moins que le contrat lui-même n'en dispose autrement. Il résulte des dispositions ci-dessus que l'accord des parties par lequel un tribunal ordinaire devient exclusivement compétent pour les litiges futurs n'est valable que s'il est écrit et se réfère à une certaine relation juridique, dont naîtront les litiges. Cet accord est un contrat à caractère procédural, puisque les dispositions ci-dessus prévoient les cas dans lesquels il est autorisé et définissent les conditions dans lesquelles il peut être rédigé, ce qui étend la compétence locale des Tribunaux civils (voir EfATH 106/2018 , Efves 1823/2014 LOI T.N.P., EfPir 364/1998 HellDni 1998 p. 897). Enfin, conformément aux dispositions de l'article 46 du Code civil, si le Tribunal n'est pas compétent quant au contenu ou au lieu, il statue d'office à chaque étape du procès et détermine le Tribunal compétent, auquel il renvoie l'affaire, et l'enquête de compétence, car elle est une condition procédurale pour le déroulement du procès, selon l'article 73 du Code Civil, elle concerne l'ordre public et précède l'enquête sur toute objection de procédure et de fond, ainsi que l'enquête sur le bien-fondé juridique de l'action (voir AP 784/ 1971 NoB 20, p. 485, EfATH 3159/2011 HellDni 2012, p. 161, Nika in Keramea/Kondyli/Nika, Interpretation KPod, ed. 2000, article 46 , numéro 6, p. 107). L'accord d'extrapolation de la compétence territoriale est, comme indiqué ci-dessus, un contrat de procédure et, pour cette raison, n'est pas soumis au contrôle de l'article 281 du Code civil, car sur la base des critères d'évaluation établis par cet article, l'exercice des seuls droits qui découlent du droit matériel et non de ceux découlant du droit procédural (voir AP 604/2018, AP 639/2012 T.N.P. LAW, EfThes 1823/2014 ibid.), aux termes desquels, toutefois, l'application de l'article 116 du Code civil s'applique, ce qui exige également que le procès se déroule de bonne foi et dans le respect des bonnes mœurs, sans toutefois prévoir par ailleurs la nullité de l'acte de procédure accompli en violation de celui-ci {voir AP 563/20 Io, AP 1595/2014, AP 1414/2011 T.N.P. LOI). En outre, selon les dispositions des articles 178 et 179 du Code civil, est nul tout acte juridique contraire aux bonnes mœurs, de même que celui par lequel la liberté de la personne est excessivement restreinte. Cette restriction est également soumise à l'accord par lequel un tribunal non compétent localement, conformément aux articles 42, 43 et 44 du Code civil, devient exclusivement compétent pour connaître des litiges patrimoniaux survenus ou survenus à l'avenir entre les intéressés. des soirées . En particulier, un accord dans lequel la plus faible des parties contractantes est exploitée en raison de la nécessité ou de l'inexpérience et est obligée, pour exercer les droits découlant du contrat, de se livrer à des batailles juridiques dans des conditions particulièrement défavorables, soit par ignorance de la langue d'un pays étranger, ou en raison de la difficulté de rester dans un pays étranger sans travail, ou en raison de l'incapacité de confier la défense de sa cause à un représentant légal approprié ou en raison d'obstacles ou d'inconvénients procéduraux ou autres résultant en n'ose entreprendre aucune action et ainsi être privé de ses droits légaux (voir AP 977/1985 Loi 1986, p. 845, EfPir 280/1995 ENautD p. 200, EfATH 6716/1991 Grèce 1993, p. 1630, PolProtATH 2495 /20 14 ..N.P.. LAW, BrPair 66/2021 publiée sur le site Internet du tribunal d'émission, MonProTATH 2024/2013 T.N.P. LAW).

[..] Fr dans cette affaire, la demanderesse déclare dans son action actuelle qu'elle exploite une entreprise.... à Thessalonique. Qu'en vertu du contrat de travail salarié à durée indéterminée du 25-1-2019, il a embauché le prévenu en tant que salarié à temps plein. Que le contrat de travail écrit contenait des clauses de confidentialité et de non-concurrence pendant la durée de validité du contrat et pendant six mois après sa résiliation, sous peine d'une clause pénale égale à l'équivalent de 12 salaires mensuels. Que le plaignant a violé ces conditions et son devoir de loyauté envers son employeur et, en particulier, après avoir reçu des copies de la liste des clients ..[..] et pris des contacts [..], il a volontairement quitté son emploi et a immédiatement commencé à travailler chez un entreprise concurrente, dans laquelle il a divulgué des informations confidentielles de son précédent employeur, réussissant même à séduire deux stagiaires [...] Et qu'il lui a ainsi causé une perte financière due à la perte des reçus des frais de scolarité, et lui a causé une perte morale dommage. Il demande, pour ces raisons, après une limitation partielle recevable et légale de la demande du procès, d'un vote entièrement négatif à une reconnaissance partielle, qui a été faite avec ses propositions (qui, étant plus claires et se référant à un montant moindre, prévalent sur le contenu différent et vague de la déclaration orale de son avocat à l'audience sur l'opposition du montant de 20 000 euros, qui est contenue dans le procès-verbal de la séance publique du Tribunal en même temps que cette décision), que la défenderesse soit obligé de lui verser la somme de 19.568,16 euros à titre de clause pénale de confiscation, d'être reconnu devoir lui payer en plus la somme de 40.000,00 euros à titre d'indemnisation et à titre de satisfaction pécuniaire pour son préjudice moral la somme de 30.000,00 euros, d'expulser le prévenu en détention personnelle afin d'exécuter la décision qui sera rendue, de déclarer la décision temporairement exécutoire et de condamner le défendeur aux frais de justice. Avec ce contenu et ces demandes, cette action, pour la demande de contre-vote dont le paiement de frais de justice formels n'est pas exigée, puisqu'elle ne dépasse pas le montant de 20 000,00 euros, qui est le seuil minimum d'exonération du paiement de un document officiel sur les frais de justice prévus pour les conflits du travail (71 EsNKPolD en conjonction avec la réglementation de l'article 14, paragraphe 2 du KPolD sur la limite monétaire de la compétence matérielle des tribunaux de première instance), a été dûment déposé et est en cours de discussion devant cette Cour, l'exception soulevée quant à la compétence de la Cour étant rejetée.

En particulier, la demanderesse invoque, pour établir la compétence territoriale du Tribunal, une clause selon les articles 42 et 44 du Code civil d'extrajuridiction qui figurait dans le contrat de travail dépendant du 25-1-2019 qu'elle a conclu avec le défendeur. Le défendeur, pour sa part, plaide que cette clause d'extrapolation de juridiction est invalide car abusive, car il s'agit d'une condition générale de transaction que le défendeur a placée comme condition préformulée dans tous les contrats de travail non négociés, dans le but de la rendre difficile pour les salariés de se représenter à l'avenir devant le tribunal, et que dans ce cas les tribunaux de Thessalonique sont compétents, puisqu'il s'agit du lieu de résidence du défendeur, de la prestation de travail et de l'existence d'une succursale de l'entreprise qui l'emploie. Dans ce cas, il est clair que la conclusion de la prolongation est le produit de l’exploitation des besoins du demandeur, qui se trouvait dans une position plus faible lors de la recherche d’un emploi et n’a pas pu négocier le contenu du contrat proposé par le demandeur. Cependant, concrètement, les droits et obligations des parties n'ont pas été indûment perturbés, puisque les tribunaux de la capitale de l'État ont été désignés comme compétents, dans lesquels la représentation est facile et n'entraîne pas de coûts prohibitifs, et le demandeur n'a en fait pas été empêché de se défendre d'avoir comparu devant la Cour après ses témoins et aucun préjudice procédural spécifique n'est invoqué du fait de l'extrapolation de la compétence de la Cour. À cet égard, il n'apparaît pas que l'invocation de l'extrapolation de compétence par la demanderesse dans sa requête, en tant qu'acte procédural, constitue un abus d'un droit procédural en violation de l'article 116 du Code civil.

Toutefois, le recours doit être rejeté comme irrecevable pour cause d’indétermination. Tout d'abord, concernant la demande de déchéance de la clause pénale, il n'est pas précisé dans les documents si la déchéance est demandée en raison d'une violation survenue avant ou après la rupture du contrat de travail, et sur quelle base de quelle disposition du contrat. est demandée, celle concernant la rupture des obligations du salarié pendant la durée du contrat ou celle concernant ses obligations après la rupture du contrat. Le document contient de manière cumulative et vague des incidents factuels relatifs à ces deux cas, de sorte qu'aucune conclusion ne peut être tirée, et tout aveu que les deux cas sont invoqués cumulativement conduit à une conclusion d'indétermination quant au montant de la demande concernant chacun . À cet égard, il n'est pas suffisamment déterminé ni de quelle manière exacte le plaignant a manqué à ses obligations, puisque les secrets dont il n'a pas gardé confidentiel ne sont pas clairement mentionnés, ni quelles informations confidentielles ont été fournies à son concurrent par son nouvel employeur, à l'exception il est fait référence à l'envoi de stagiaires, sans même mentionner leur nombre à titre indicatif. Concernant la demande d'indemnisation, outre ce qui précède, il n'est pas précisé quel a été exactement le préjudice subi, puisque le montant de 40 000,00 euros est vaguement évoqué sans mentionner la manière dont il a été calculé, sauf que les frais de scolarité d'un montant de 3 000 euros sont mentionnés 00 et 6 000,00 euros, qui ne sont même pas des multiples du montant demandé, de sorte qu'aucune conclusion sûre ne peut être tirée. Celles-ci impliquent l'autonomie et la demande d'attribution d'une satisfaction monétaire, puisque celle-ci n'est pas décrite dans la pétition. d'une certaine manière, le fait illicite aurait causé un préjudice moral. Conformément à tout ce qui précède, le procès doit être rejeté comme irrecevable pour imprécision et la plaignante, en raison de sa défaite, doit être condamnée au paiement des frais de justice du défendeur, conformément aux dispositions spécifiques du décret.

POUR CES RAISONS

IL JUGE contre l’objection des parties.

REJETTE l'action.

CONDAMNATION le demandeur doit payer au défendeur car son procès coûte la somme de deux mille (2.000,00) euro.


Thomas Stéph. Été 

Avocat MDE 

Min. Docteur en droit, AUTH

Articles récents

11
Ακύρωση κατάσχεσης και πλειστηριασμού λόγω καταχρηστικότητας – Η υπ’ αριθ. 34/2025 Απόφαση Πρωτοδικείου Καβάλας
14 mai 2025
11
ΠΡΟΣΤΑΣΙΑ ΔΑΝΕΙΟΛΗΠΤΩΝ ΑΠΟ FUNDS ΤΡΑΠΕΖΕΣ ΚΑΙ ΔΗΜΟΣΙΟ
4 avril 2025
11
ΚΤΗΜΑΤΟΛΟΓΙΟ ΚΑΙ ΑΚΙΝΗΤΑ. ΤΙ ΠΡΟΒΛΕΠΕΙ Ο ΝΟΜΟΣ
4 avril 2025

Catégories

Les cookies sont également très utiles. Comment utiliser les cookies et les cookies Il s'agit du Ρυθμίσεις απορρήτου.
ΑποδέχομαιΡυθμίσεις απορρήτου

RGPD

  • Déclaration de confidentialité

Déclaration de confidentialité

« Le traitement des données personnelles est effectué conformément aux dispositions du Règlement Général sur la Protection des Données Personnelles (RGPD 2016/679), aux éventuelles législations nationales et européennes plus spécifiques à certains secteurs,
de la législation grecque actuellement applicable sur la protection des données personnelles, ainsi que sur la protection des données personnelles et de la vie privée dans le domaine des communications électroniques

(Loi 3471/2006, le cas échéant) et les décisions de l'Autorité de protection des données personnelles (PDPA)".  

    1. But

      Dans le cadre de l'offre de nos produits, nous collectons certaines données personnelles vous concernant pour faciliter notre relation avec vous et vous offrir la meilleure expérience d'achat possible. À travers la déclaration de confidentialité, nous souhaitons vous expliquer nos pratiques et politiques en matière de collecte, d'utilisation et de partage de données et de cookies collectés par ou à votre sujet.

    2. Comment nous collectons les données

      Vos données sont collectées lorsque vous nous contactez via notre formulaire de contact, via notre formulaire de commande, via votre inscription à la newsletter, par téléphone ou par e-mail, ou de toute autre manière par laquelle vous pouvez nous envoyer vos données.

      Le thomaskalokiris.com place la sécurité de vos données personnelles comme première priorité. C'est pour cette raison que nous gérons vos données personnelles avec soin, prudence et selon la législation nationale et européenne tel que défini par la loi 2472/1997 et le règlement (UE) no. 679/2016 (RGPD).

Quelles données nous collectons et pourquoi

Le tableau ci-dessous répertorie les données que nous collectons auprès de vous, pourquoi nous les utilisons et pourquoi elles sont nécessaires dans chaque cas.

Finalité du traitement des données

Confidentialité

Pourquoi les données sont nécessaires

Exécution de vos commandes
  • identifiants personnels (nom et prénom)
  • coordonnées (adresse de livraison, téléphone, adresse e-mail)
  • identifiants fiscaux (TIN, D.O.Y)
  • Informations de connexion

pour permettre votre inscription/connexion, pour finaliser votre commande ou pour effectuer un remboursement.

 

 

 

Traitement des questions, réclamations, dépannage
  • identifiants personnels (nom et prénom)
  • coordonnées (adresse de livraison, téléphone, adresse e-mail)
  • identifiants fiscaux (TIN, D.O.Y)
  • Informations de connexion

pour le traitement correct des questions, des réclamations et des problèmes. Nous avons un intérêt légitime à offrir la meilleure expérience à nos clients et à résoudre tout problème.

 

 

 

S'inscrire à la Newsletter
  • identifiants personnels (nom et prénom)
  • coordonnées (adresse de livraison, téléphone, adresse e-mail)
afin que vous puissiez recevoir des mises à jour et des offres de notre société après avoir donné votre consentement
Créez un compte membre en utilisant les médias sociaux 
  • identifiants personnels (nom et prénom)
  • coordonnées (adresse e-mail)
pour passer vos prochaines commandes sans avoir à ressaisir vos coordonnées

 

    1. Combien de temps conservons-nous vos données

      Notre politique est de conserver vos données uniquement aussi longtemps que nécessaire aux fins pour lesquelles elles ont été collectées, conformément aux principes de minimisation des données et de limitation de la durée de conservation. Pour toutes les raisons ci-dessus, vos données seront conservées pendant au moins cinq (5) ans après la fin de notre relation client. De plus, nous adaptons la conservation de vos données aux éventuelles variations découlant de l'exercice de vos droits en matière de protection des données personnelles.

    2. Divulgation de données personnelles à des tiers

      Nous ne céderons, divulguerons ou louerons pas vos informations personnelles à un tiers/entité autre que celui décrit dans la présente Déclaration de confidentialité. Notre société transmet des données personnelles à des tiers, auxquels la société confie le traitement des données personnelles en son nom.

      Les données ne sont transférées qu'à des sociétés partenaires de la nôtre qui fournissent des services dans le but d'envoyer du matériel publicitaire et des offres personnalisées. En outre, ces données sont transmises aux sociétés coopérant avec nous dans le but d'évaluer la qualité de la prestation de services et d'évaluer nos produits et services. En outre, aux fins de l'exécution du contrat de vente, les données sont transmises aux sociétés coopérantes chargées de l'exécution d'une partie du contrat, telles que des sociétés de transport ou des points de retrait sélectionnés par vous. Enfin, l’accès aux données est donné aux prestataires indépendants qui ont construit notre site Internet, ainsi qu’à ceux qui nous fournissent un support technique ou un hébergement pour le fonctionnement du site Internet.

      Nous cherchons à garantir que tous ces prestataires de services tiers/indépendants n’utiliseront pas vos données personnelles à d’autres fins que la fourniture des services pour lesquels ils sont contractuellement liés. Nous créons également des contrats avec ces entrepreneurs indépendants qui les obligent à respecter les normes de protection des données personnelles requises par la loi et à utiliser les données uniquement aux fins pour lesquelles elles ont été fournies.

      Enfin, nous nous réservons le droit de divulguer vos informations personnelles à des tiers si nous sommes tenus de divulguer ou de partager vos informations personnelles pour nous conformer à toute obligation légale ou réglementaire.

    3. Sécurité des données

      Nous mettons tout en œuvre pour protéger nos utilisateurs contre tout accès non autorisé ou toute modification, divulgation ou destruction des informations en notre possession. Spécifiquement:

      1. Nous chiffrons le transfert de données vers et depuis le site Web à l'aide de SSL.
      2. Nous contrôlons nos pratiques de collecte, de stockage et de traitement des données, y compris les mesures de sécurité physique, pour nous protéger contre tout accès non autorisé aux systèmes.
      3. L'accès aux informations personnelles est limité uniquement à nos employés et entités partenaires qui ont besoin de connaître ces informations pour nous fournir des services. Ces entités coopérantes et la manière dont vos données sont sécurisées sont expressément mentionnées dans cette déclaration de confidentialité.

 

  1. Accès des mineurs

    Les produits que nous proposons sont destinés exclusivement à un achat par des adultes et non par des enfants ou des mineurs de moins de 16 ans.

    Si vous avez moins de 16 ans, vous ne pouvez utiliser notre site Web qu'avec la participation et l'approbation d'un parent ou d'un tuteur.

  2. Utilisation de cookies

    Un « cookie » est un petit fichier texte qui est téléchargé sur votre appareil lorsque vous visitez un site Web et permet au site Web d'obtenir certaines informations de votre navigateur, telles que vos préférences. Nous considérons qu'il est important que vous sachiez quels cookies sont utilisés sur notre site Web et pour quelles raisons ils sont utilisés. Les deux principales catégories de cookies utilisées sur notre site Internet sont les cookies strictement nécessaires et les cookies tiers :

    Absolument nécessaire biscuits Ces cookies sont nécessaires au bon fonctionnement de notre site Internet mais également pour que vous puissiez le parcourir et utiliser ses fonctionnalités, comme l'accès aux espaces sécurisés du site Internet. Sans ces cookies, certains services et fonctions du site, comme le panier ou le paiement électronique, ne pourraient pas être réalisés.

    Biscuits de tiers

    Les cookies tiers incluent les cookies de performance, de fonctionnalité et de promotion/ciblage.

    • Cookies de performance : collectent des informations sur la manière dont les visiteurs utilisent le site Web, par exemple les pages qu'ils visitent le plus souvent et s'ils reçoivent des messages d'erreur des sites Web. Ces cookies ne collectent pas d'informations permettant d'identifier le visiteur. Toutes les informations collectées par ces cookies sont agrégées et donc anonymes. Ils sont utilisés uniquement pour améliorer le fonctionnement d'un site Web
    • Cookies de fonctionnalité : permettent au site Web de mémoriser les choix que vous faites (comme votre nom d'utilisateur ou la région dans laquelle vous vous trouvez) et de fournir des fonctionnalités plus personnalisées. Ils peuvent également être utilisés pour mémoriser les modifications que vous avez apportées au site Web ou pour fournir les services que vous avez demandés, tels que le chat ou l'utilisation des réseaux sociaux. Les données collectées par ces cookies peuvent être rendues anonymes et ne permettent pas de suivre votre navigation et votre activité sur d'autres sites Internet.
    • Cookies promotionnels/ciblage : utilisés pour fournir un contenu plus pertinent pour vous et vos intérêts. Ils sont également utilisés pour envoyer des publicités ou des offres ciblées, pour limiter le nombre d'annonces diffusées et pour aider à mesurer l'efficacité des campagnes publicitaires. Ils peuvent également être utilisés pour stocker les sites Internet que vous avez visités afin de déterminer les canaux de marketing en ligne les plus efficaces et pour récompenser les sites Internet et partenaires externes qui vous ont référé à notre site Internet.

     

  3. Vos droits pour protéger vos données personnelles

    A tout moment, pendant la conservation ou le traitement de vos données, vous conservez les droits suivants, et vous pouvez formuler les demandes correspondantes :

    • Droit d’accès – vous avez le droit d’accéder aux données personnelles que nous détenons à votre sujet
    • Droit de rectification – vous avez le droit de corriger les données inexactes ou incomplètes que nous détenons à votre sujet.
    • Droit à l'effacement – vous pouvez demander que les données que nous détenons à votre sujet soient supprimées de nos dossiers et nous sommes obligés de répondre à votre demande dans certains cas.
    • Droit à la limitation du traitement – vous avez le droit de demander que le traitement de vos données personnelles soit limité et nous sommes tenus de répondre à cette demande lorsque certaines conditions s'appliquent.
    • Droit à la portabilité des données – vous avez le droit de demander que les données que nous détenons à votre sujet soient transférées à une autre organisation
    • Droit d’opposition – vous avez le droit de vous opposer au traitement des données personnelles vous concernant, sous certaines conditions
    • Droit de retirer votre consentement – lorsque la base juridique du traitement de vos données est le « Consentement », vous avez le droit de retirer votre consentement à tout moment.

    Toutes vos demandes concernant les droits ci-dessus peuvent être soumises via le formulaire de demande spéciale ou via les pages de gestion de votre compte personnel.

    LE procédure pour le traitement de toute demande concernant les droits ci-dessus est la suivante. Nous évaluerons la demande et vous répondrons sur son avancement (demande approuvée, demande partiellement approuvée, demande rejetée) dans les plus brefs délais et en tout cas dans le mois suivant sa soumission. Dans le cas où notre société rejette votre demande concernant les droits de protection des données personnelles mentionnés ci-dessus, nous vous communiquerons les raisons du rejet. Vous avez le droit de déposer une plainte directement auprès de l'autorité de régulation et du délégué à la protection des données de notre société.

    Nous nous réservons le droit de rejeter les demandes déraisonnablement répétitives, nécessitant un effort technique disproportionné ou ayant des conséquences techniques disproportionnées, mettant en danger la vie privée d'autrui ou impossibles à mettre en œuvre.

  4. Modifications de la déclaration de confidentialité

    Notre déclaration de confidentialité peut changer de temps à autre. Nous nous efforçons de réviser et de mettre à jour constamment cette Déclaration afin de nous conformer aux exigences légales et réglementaires tout en offrant la meilleure protection à vos données personnelles. Nous publierons toute modification de la déclaration de confidentialité sur cette page.

fr_FRFrench